Ce drame de 2h17 raconte l'histoire de Freddie, un vétéran, qui revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd, « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe...
Extrait du site officiel du cinéma :
Qu’est ce que le 70mm?
Consistant en un pellicule deux fois plus large que la normale (et donc une image quatre fois plus grande) le format 70mm a été développé par les grands studios dans les années 60 afin de résister à la concurrence de la télévision : c’était l’époque des grandes fresques, de Ben Hur à Lawrence d’Arabie, qui bénéficiaient avec le 70mm d’une qualité de projection extraordinaire. Ce format était malheureusement très coûteux et est vite devenu une rareté. L’Arlequin est ainsi un des derniers cinémas de France à être équipé en 70mm, héritage aussi bien de ses années Cosmos (de nombreux films russes adoptaient ce format) que d’une volonté dès les années 90 d’offrir une vitrine à de magnifiques copies restaurées, tel Vertigo, Playtime ou Spartacus. Premier film tourné entièrement en 70mm depuis le Hamlet de Kenneth Brannagh (1996 !), The Master offre la démonstration de l’incroyable qualité de ce format, y compris par rapport aux projections numériques les plus perfectionnées : précision des détails y compris aux arrières plans, beauté du grain, et surtout rendu inégalable des contrastes entre l’ombre et la lumière, qui reste le maître atout de la pellicule sur le numérique… Si Paul Thomas Anderson a voulu rendre hommage dans sa reconstitution à la cinématographie d’un certain âge d’or du Septième Art, c’est bien la plus belle image techniquement projetable dans le monde qui sera offerte aux heureux spectateurs de l’Arlequin.
http://arlequin.cine.allocine.fr/
http://www.facebook.com/TheMasterlefilm
http://www.metrofilms.com/films/6699/the-master.html
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