« C’était assez improbable, déclare Cédric Klapisch ; on a vite vu qu’en nuit, l’appareil photo était bien meilleur que la pellicule. Nous avons obtenu des images qui étaient pratiquement impossibles en film. »
« Outre leur taille très réduite, qui permet de les embarquer dans des endroits inaccessibles, les appareils photo permettent surtout de laisser beaucoup de liberté aux acteurs, car on n’a plus à se soucier ni de la durée ni du coût de la pellicule. Et vu le prix réduit des appareils, on peut aussi en utiliser plusieurs pour une même prise. Cela a été une nouvelle façon de travailler, qui permet plus de naturel, voire même qui nous rapproche du documentaire. Au final, l’image est différente à la fois dans le rendu technique, mais aussi dans la mise en scène. »
Le long-métrage compte ainsi environ un quart d’images réalisées avec des appareils photo reflex Canon EOS-1D Mark IV.
Voir le making of :
http://www.vimeo.com/CanonFrance